Femmes détruites : 1ère partie
Femmes détruites : 1ère partie
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En parlant d’agresseur, je nommerai souvent la femme car malheureusement la violence la plus rependue est celle causée aux femmes. Mais il ne faut pas oublier que les hommes aussi peuvent être « agressés » par leur conjointe. Cela existe, il ne faut pas l’oublier.
La violence a toujours existé mais on aurait pu croire qu’avec la montée du féminisme les choses évolueraient et qu’une plus grande égalité entre les hommes et les femmes entraînerait moins de violence. Il n’en est rien !
L’évolution des mœurs n’a rien fait disparaître, au contraire elle a rendu la violence plus subtile. En lisant les journaux on pourrait penser à un phénomène marginal, or c’est un véritable fléau social qui malheureusement n’est pas pris en considération.
La maltraitance psychologique et un vrai problème de santé mentale extrêmement destructeur est rarement débattu. Les conséquences sur la victime sont très graves. Malgré l’importance de cette souffrance, cela reste une option facultative au niveau de l’enseignement médical. Contrairement à ce qui est dit fréquemment, la violence conjugale n’est possible que parce que la société l’accepte en silence.
Le seuil de tolérance de chacun est fonction de son histoire et de sa sensibilité. Néanmoins, ce seuil peut être modifié par la nature de la violence subie et surtout par la nature de l’emprise. Une grande violence peut se dissimuler sous une apparence de bienveillance ou derrière des bonnes paroles : d’où une mise en place d’une emprise très forte.
Il y a 2 types de violences psychologiques :
1 – La violence Réactionnelle : justifiée car elle répond à une agression, des insultes
2 – La violence Actionnelle : consiste en une action délibérée servant à dominer et à faire souffrir l’autre
Il est à noter, que dans la plupart des cas, les agresseurs sont persuadés qu’ils ne font que répondre à une agression et qu’il n’y a donc chez aux aucune intention consciente de faire du mal et cela même si les faits sont flagrants !
Dans la violence, l’agresseur empêche l’autre de s’épanouir, il n’y a aucun dialogue possible. Du fait, il se trouve nié dans son intégrité.
Très souvent on ne voit l’agression qu’à travers l’agression physique et les marques qu’elle peut laisser. Celle-ci que constitue qu’un aspect du problème, la partie émergée de l’iceberg. Souvent, la violence psychologique commence par des bousculades, des comportements abusifs, des intimidations, des micro-violences qui sont posés pour préparer le terrain.
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